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respect a ces militants (e) bravo bel exemple à sivre

269Life - Libération Animale a écrit :

 

 

Blocage de l'abattoir de St Etienne - 269 Life Libération Anim...

Bonsoir à toutes et tous, Hier soir vers 22h, après plusieurs jours de préparation et de repérage dans la plus grande discrétion, nous avons réalisé le premier blocage d’un abattoir en France, celui de Saint-Etienne (42). Suivis par quelques journalistes afin de médiatiser l'opération, nous avons pisté en amont l’arrivée d’un camion transportant des animaux avant de le devancer pour nous enchaîner à la grille de l'abattoir en question et ce dans le but de lui bloquer l'accès au hall de déchargement. Nous brandissions une banderole portant le message "Stop à l'holocauste animal" ! Il faut savoir que les animaux arrivent pour la plupart le soir pour n'être abattus que le lendemain matin. Après la souffrance engendrée par le transport, commence alors pour eux le calvaire de l'attente. Ils sont parfaitement conscients du sort qui les attend. Nous sommes restés ainsi enchaînés jusqu'à minuit se confrontant aux employés de l'abattoir qui pour la plupart n'ont pas trouvé de réponse aux questions que nous leur posions sur la légitimité d'une filière économique reposant sur la mort et la souffrance d'innombrables êtres sensibles et sur les justifications qu'ils peuvent trouver dans l'exercice d'une telle profession. Nous avons toutes et tous un jour ou l’autre croisé ces camions remplis de condamnés qui cheminent vers ces lieux où l'on donne la mort. Nous détournons le regard la plupart du temps tant la vision de ces animaux nous est insupportable.Nous pensons qu’il est plus que temps de se diriger vers les lieux où se déroule le massacre des animaux. Loin des villes et surtout des regards, nous oublions que nous avons tous à quelques kilomètres de nos habitations, des lieux où l'on tue jour et nuit des êtres sensibles dans des conditions indignes. Hier soir, l’odeur de la mort, de la chair meurtrie, des cadavres et du sang nous a pris à la gorge et régnait sur des kilomètres aux alentours. Même les journalistes qui nous accompagnaient étaient choqués de cette puanteur abominable. Le camion que nous avons bloqué transportait 80 veaux entassés sur deux étages. Tremblant de peur, leurs pleurs nous étaient insupportables et le chauffeur a lui même reconnu que le traitement qui leur est infligé est « inhumain » mais qu’il n’est que le bras armé des consommateurs. A tous nos détracteurs ou aux sceptiques qui sauront nous dire que « c’est honteux de faire ainsi patienter davantage les animaux dans le camion », nous leur répondrons que les animaux sont bien malheureusement aussi stressés dans le hall d’attente où ils sont déchargés le soir que dans les camions qui les transportent vers la mort ! La seule différence : une fois parqués à l'intérieur même de l'abattoir, ils sont loin de nos regards. Alors plus personne ne peut voir leur détresse, plus personne n'entend leur pleurs, plus personne ne sent l'odeur insupportable de la mort et plus personne ne touche leurs corps trempés de sueur. Bien évidemment, nous nous sommes posés la question de savoir si une telle action n'était pas susceptible d'engendrer un stress supplémentaire chez les animaux mais il faut arrêter de penser que les abattoirs sont des lieux où on fait en sorte de leur dissimuler le triste sort qui les attend ! Les animaux sont déchargés avec violence puis parqués dans des hangars où ils attendent leur tour toute la nuit. Les pleurs continus des animaux que l’on entend à l’extérieur de l’abattoir ne font que confirmer ce triste constat. Pour cette première en France et au regard des risques encourus tant judiciaires que par les confrontations avec le personnel présent sur place, nous avons choisi d’être en comité restreint pour cette action. En effet, il nous fallait d'abord avant d'envisager une action de grande ampleur évaluer la faisabilité et les risques encourus pour un tel évènement. Ce type d’opération nécessitant par ailleurs un investissement temporel et financier important et bien évidemment une grande discrétion.Nous encourageons pourtant tous les militants à se diriger en masse vers ces camps de la mort pour faire barrage de leurs corps à ces transporteurs d'êtres innocents !!!Indignez vous ! Réveillez vous ! Nous avons été trop longtemps gentils ou dociles, le système d’oppression en place doit être combattue et de manière plus offensive que jamais. Jusqu'à la libération finale, nous serons 269 LIFE LIBERATION ANIMALE pour eux ! Ils peuvent nous menacer, nous enfermer ou tenter de nous faire peur, nous ne cesserons jamais le combat. All are 269

Posté par 269Life - Libération Animale sur mardi 26 janvier 2016

 

Bonsoir à toutes et tous,

Hier soir vers 22h, après plusieurs jours de préparation et de repérage dans la plus grande discrétion, nous avons réalisé le premier blocage d’un abattoir en France, celui de Saint-Etienne (42).

Suivis par quelques journalistes afin de médiatiser l'opération, nous avons pisté en amont l’arrivée d’un camion transportant des animaux avant de le devancer pour nous enchaîner à la grille de l'abattoir en question et ce dans le but de lui bloquer l'accès au hall de déchargement.

Nous brandissions une banderole portant le message "Stop à l'holocauste animal" !

Il faut savoir que les animaux arrivent pour la plupart le soir pour n'être abattus que le lendemain matin. Après la souffrance engendrée par le transport, commence alors pour eux le calvaire de l'attente. Ils sont parfaitement conscients du sort qui les attend.

Nous sommes restés ainsi enchaînés jusqu'à minuit se confrontant aux employés de l'abattoir qui pour la plupart n'ont pas trouvé de réponse aux questions que nous leur posions sur la légitimité d'une filière économique reposant sur la mort et la souffrance d'innombrables êtres sensibles et sur les justifications qu'ils peuvent trouver dans l'exercice d'une telle profession.
Nous avons toutes et tous un jour ou l’autre croisé ces camions remplis de condamnés qui cheminent vers ces lieux où l'on donne la mort. Nous détournons le regard la plupart du temps tant la vision de ces animaux nous est insupportable.

Nous pensons qu’il est plus que temps de se diriger vers les lieux où se déroule le massacre des animaux. Loin des villes et surtout des regards, nous oublions que nous avons tous à quelques kilomètres de nos habitations, des lieux où l'on tue jour et nuit des êtres sensibles dans des conditions indignes.

Hier soir, l’odeur de la mort, de la chair meurtrie, des cadavres et du sang nous a pris à la gorge et régnait sur des kilomètres aux alentours. Même les journalistes qui nous accompagnaient étaient choqués de cette puanteur abominable.

Le camion que nous avons bloqué transportait 80 veaux entassés sur deux étages. Tremblant de peur, leurs pleurs nous étaient insupportables et le chauffeur a lui même reconnu que le traitement qui leur est infligé est « inhumain » mais qu’il n’est que le bras armé des consommateurs.

A tous nos détracteurs ou aux sceptiques qui sauront nous dire que « c’est honteux de faire ainsi patienter davantage les animaux dans le camion », nous leur répondrons que les animaux sont bien malheureusement aussi stressés dans le hall d’attente où ils sont déchargés le soir que dans les camions qui les transportent vers la mort !

La seule différence : une fois parqués à l'intérieur même de l'abattoir, ils sont loin de nos regards. Alors plus personne ne peut voir leur détresse, plus personne n'entend leur pleurs, plus personne ne sent l'odeur insupportable de la mort et plus personne ne touche leurs corps trempés de sueur.

Bien évidemment, nous nous sommes posés la question de savoir si une telle action n'était pas susceptible d'engendrer un stress supplémentaire chez les animaux mais il faut arrêter de penser que les abattoirs sont des lieux où on fait en sorte de leur dissimuler le triste sort qui les attend ! Les animaux sont déchargés avec violence puis parqués dans des hangars où ils attendent leur tour toute la nuit.

Les pleurs continus des animaux que l’on entend à l’extérieur de l’abattoir ne font que confirmer ce triste constat.

Pour cette première en France et au regard des risques encourus tant judiciaires que par les confrontations avec le personnel présent sur place, nous avons choisi d’être en comité restreint pour cette action. Ce type d’opération nécessitant par ailleurs un investissement temporel et financier important et bien évidemment une grande discrétion.

Nous encourageons pourtant tous les militants à se diriger en masse vers ces camps de la mort pour faire barrage de leurs corps à ces transporteurs d'êtres innocents !!!

Indignez vous ! Réveillez vous !

Nous avons été trop longtemps gentils ou dociles, le système d’oppression en place doit être combattue et de manière plus offensive que jamais.
Jusqu'à la libération finale, nous serons 269 pour eux !

Ils peuvent nous menacer, nous enfermer ou tenter de nous faire peur, nous ne cesserons jamais le combat.
All are 269

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