Depuis plusieurs mois, des habitants d'une paisible co-propriété de Montfavet découvrent horrifiés des chats morts et martyrisés.
C'est lorsque l'un d'entre eux a retrouvé son chat avec la cage thoracique perforée par une côte, la colonne vertébrale fracturée, qu'ils ont décidé de faire pratiquer des autopsies : sept félins ont été étudiés et les rapports montreraient des traces de torture.
Tous auraient été tués sur le même mode opératoire.
Une mise en scène macabre
Les habitants se sont rendu compte de plusieurs détails macabres : les chats retrouvés morts appartiennent à des propriétaires de rez-de-chaussée systématiquement. Leur minou disparait, et il est retrouvé mort dans leur jardinet ou leur terrasse, sans doute déposé pendant la nuit...
La voix tremblante, Véronique parle de son matou adoré, il s'appelait Bonnie, elle l'a retrouvé gisant dans son jardinet début janvier.
Elle déplore le manque d'attention de la police, qui ne les prendrait pas au sérieux. Du coup, c'est spa du Vaucluse qui va porter plainte.
Un climat lourd s'est installé dans la co-propriété. Tout le monde espère que l'auteur de ces atrocités soit arrêté.
L’article 521-1 du Code pénal punit les sévices graves ou actes de cruauté commis sur un animal domestique jusqu'à 2 ans d’emprisonnement et de 30.000 euros d’amende.
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