Roger Falck, 26 ans, dompteur vedette de "La piste aux étoiles" a été condamné à huit mois de prison avec sursis par le
tribunal correctionnel de Saint-Etienne pour des violences aggravées commises en mars 2014 sur des militantes pacifistes essentiellement des femmes,
car elles ont eu lieu en réunion, avec le concours d'employés du cirque, que l'enquête n'a pas réussi à identifier.
Deux autres circonstances aggravantes ont été retenues, car elles ont entraîné des interruptions totales de travail (ITT) supérieures à huit jours. Ces violences ont aussi visé une personne vulnérable, une femme enceinte de huit mois, qui avait reçu deux coups de poing au visage.
Le jugement est allé au-delà des réquisitions du ministère public, qui avait demandé une peine de quatre à six mois de prison avec sursis.
Il avait été rappelé à l'audience que Roger Falck était récidiviste, ayant été condamné en juin 2012 pour outrage et violence sur personne dépositaire de l'autorité publique par le tribunal correctionnel de Narbonne, après avoir frappé un policier municipal de Lézignan-Corbières (Aude).
"Nous étions rassemblés à plusieurs dizaines de mètres de l'entrée du cirque, sur un côté, avec des pancartes dénonçant la présence d'animaux sauvage en captivité, quant des personnels du cirque nous ont agressés de façon très violente", avait relaté, le lendemain des faits, Véronique Falzone, infirmière et membre de l'association Anima.
Gilles Rossary-Lenglet, responsable du Mouvement Républicain et Citoyen (MRC) dans la Loire, qui était lui-aussi présent devant le chapiteau pour aussi dénoncer la présence d'animaux sauvage dans le cirque, avait indiqué avoir été l'un des rares membres du petit groupe de manifestants à ne pas avoir été agressé physiquement.
Une mère de famille venue assister au spectacle du cirque, avant de faire demi-tour, avait pour sa part déclaré avoir assisté impuissante à "une meute de gens du cirque frapper à coups de poings et de pieds les porteurs de pancartes jeter
à terre leur caméra et écraser les téléphones portables avec lesquels ils avaient pris des photos".
Le jugement est allé au-delà des réquisitions du ministère public, qui avait demandé une peine de quatre à six mois de prison avec sursis.
Il avait été rappelé à l'audience que Roger Falck était récidiviste, ayant été condamné en juin 2012 pour outrage et violence sur personne dépositaire de l'autorité publique par le tribunal correctionnel de Narbonne, après avoir frappé un policier municipal de Lézignan-Corbières (Aude).
"Nous étions rassemblés à plusieurs dizaines de mètres de l'entrée du cirque, sur un côté, avec des pancartes dénonçant la présence d'animaux sauvage en captivité, quant des personnels du cirque nous ont agressés de façon très violente", avait relaté, le lendemain des faits, Véronique Falzone, infirmière et membre de l'association Anima.
Gilles Rossary-Lenglet, responsable du Mouvement Républicain et Citoyen (MRC) dans la Loire, qui était lui-aussi présent devant le chapiteau pour aussi dénoncer la présence d'animaux sauvage dans le cirque, avait indiqué avoir été l'un des rares membres du petit groupe de manifestants à ne pas avoir été agressé physiquement.
Une mère de famille venue assister au spectacle du cirque, avant de faire demi-tour, avait pour sa part déclaré avoir assisté impuissante à "une meute de gens du cirque frapper à coups de poings et de pieds les porteurs de pancartes jeter
à terre leur caméra et écraser les téléphones portables avec lesquels ils avaient pris des photos".