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PARCE QUE LA NATURE LE PERMET

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EN FEVRIER, LES CHASSEURS DE PIGEONS ET GRIVES CHASSENT EN DRÔME-ARDECHE COMME DANS 15 AUTRES DEPARTEMENTS.

L’Interdépartementale Chasse Drôme-Ardèche avait prévenu :

Du point de vue du simple bon sens, le montage juridique ministériel d’une fermeture « communale » de la chasse à la grive imaginé par les « experts » verts (les mêmes qui avaient déjà inventé la grive « cantonale ») s’annonce tout simplement inapplicable. En réalité, il ne sera pas appliqué : simple pronostic. En 2016, la réglementation d’exception destinée à brimer encore plus les chasseurs de grives de nos départements (après le canton, la commune !) et tenter une fois encore de les diviser (pari perdu d’avance) devient pour le chasseur, en ce mois de février, un kafkaïen labyrinthe de 730 communes.

Au sud, au centre, au nord, dans tous nos cantons, dans toutes nos communes, dans nos 730 ACCA Drôme-Ardèche, vallées, plaines, collines, montagnes, les chasseurs de migrateurs à poste fixe depuis le 10 février, fusil en main, voient passer grives et pigeons. Et vont continuer de le faire sans se priver jusqu’au 20 février. Comme dans 15 autres départements.

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Photo Inter/Site internet Inter Chasse Drôme-Ardèche

Aux pigeons ramiers sédentarisés et de plus en plus nombreux partout (appelés palombes dans le Sud-Ouest), commencent à s’ajouter les éclaireurs de la migration remontant de la Péninsule Ibérique. Avec la douceur des températures, quelques beaux vols bleus précoces sont à prévoir pourvu que la « bise » souffle un peu, ce qui est loin d’être certain avec ce temps de Toussaint en plein hiver.

De petits contingents pré-migratoires de grives en déplacements erratiques ont déjà été signalés un peu partout : litornes (fia-fia) et mauvis (quines) en majorité.

Si les coups de fusil entendus ici et là restent encore discrets et les prélèvements connus modestes, c’est d’abord aux conditions météorologiques exceptionnelles d’un hiver qui n’en est pas un qu’on le doit. Avec un froid normal de saison, il en aurait été différemment. Un hiver ou l’autre, cela arrivera forcément. Des grives, il y en a des millions.

N’ayant pas souffert du froid, ayant toujours trouvé en abondance, en raison de l’absence de gel, de la nourriture fortement protéinée (vers de terre), ayant conservé entre 85 et 95 % de leurs réserves de masse graisseuse, ce sont des turdidés (grives et merles) en pleine forme qui volent à travers bois et restent particulièrement méfiants au cours de leurs déplacements. Peu vulnérables, ils sont par conséquent peu impactés par la chasse. Tant mieux pour eux !

Même si le nombre d’oiseaux observés augmente de jour en jour, peu de gibier ramené pour le moment, le temps qu’il fait ne s’y prête pas, peu importe : l’essentiel est que le chasseur puisse y être … Et y revenir l’an prochain.

Et il y est.

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Profitons de l’occasion pour ouvrir un débat auquel chaque chasseur est invité à venir prendre part directement le 26 février à Beauchastel :

 

 

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