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  • I-CAD dévoile les résultats d’une étude exclusive TNS/Sofres sur l’identification des chiens et chats en France

    I-CAD dévoile les résultats d’une étude exclusive TNS/Sofres sur l’identification des chiens et chats en France

    Un animal identifié a près de 40 % de chances en plus d’être retrouvé en cas de perte

    Pour la première fois en France, I-CAD, le fichier d’identification des carnivores domestiques, a mené une étude de grande ampleur avec l’institut TNS/Sofres pour réaliser un état des lieux sur l’identification des chiens et chats en France en septembre 2016.

    A quoi sert l’identification de son animal ? Où en sommes-nous en France ? Les détenteurs d’animaux sont-ils suffisamment sensibilisés sur l’identification ? La part des chiens et des chats non identifiés est-elle importante ? Quels sont les freins et les motivations à l’identification ?

    Identification des chiens et chats : où en sommes-nous en septembre 2016 ?

    Si les trois quarts des propriétaires de chiens (75 %) savent que l’identification est obligatoire en France, seulement la moitié des possesseurs de chats en ont connaissance.

    Cet écart se traduit naturellement dans la réalité des chiffres des identifications : 88 % des chiens sont identifiés en France, alors que cette proportion est divisée par 2 pour les chats, qui ne sont que 46 % à être identifiés.

    Un chiffre beaucoup trop faible au regard du caractère obligatoire de l’identification !

    D’autre part, l’identification est un élément capital pour retrouver son animal en cas de perte.

    Un quart des personnes interrogées (24 %) ont déjà perdu un chat ou un chien, or 81 % des animaux identifiés sont retrouvés, contre seulement 59 % pour les animaux non identifiés.

    Les propriétaires de chiens et chats ont donc près de 40 % de chances de plus de retrouver leur animal si celui-ci est identifié !

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    Catégories : actions militantes
  • SCOOP : commission d'enquête sénatoriale sur les mouvements animalistes !

    Au terme du colloque « L’Homme et les animaux : vers un conflit de civilisations ? », organisé au Palais du Luxembourg le 4 octobre par l'Observatoire National des Cultures Taurines, son président André Viard annonce sur twitter, tenez-vous bien, une commission d'enquête parlementaire sur les mouvements animalistes !

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    Catégories : actions militantes
  • Le saviez vous ??????

    Ce week end (qui vient de passer ) PORTES OUVERTES à l'ASDA de Montélimar !!!!! qui a été au courant ?? rien vu ds la presse ;) , leur "pseudo " page FB comme d'habitude opérationnelle mdr , qui ne sert à rien , puisqu'aucun chien ( des box ) n'est publié , ni chat !!! à part ceux de pet alert ;) be oui , ce ne sont pas des chiens du refuge , donc les gens n'iront pas là bas ;) , aucune annonce sur FB alors que toutes les assos le font ........... toujours dans la même continuité : J'AI DECIDE DE NE RIEN FAIRE ET JE NE FAIS RIEN , JE N'AVERTIS PERSONNE MAIS..............J'Y SUIS : SEULE : en attendant , les chiens et les chats qui comptent sur ce jour pour avoir une chance supplémentaire de partir , eh bien c'est encore raté ;) comme le forum ;) MAIS APRES TOUT , CE NE SONT QUE DES ANIMAUX ............ET MADAME RESTE VISSEE SUR SON FAUTEUIL , DONC C'EST LE PLUS IMPORTANT !!!!!! A VOMIR........................... COMBIEN DE TEMPS VA ENCORE DURER TOUTE CETTE MASCARADE QUI VEUT NOUS FAIT CROIRE QUE CE REFUGE VA BIEN ???????????????

    Catégories : news
  • GRAND DANGER ! Mobilisons-nous avant les élections !

    Marc Laffineur : « Alain Juppé considère la chasse comme une activité nécessaire à la conservation de la biodiversité »

    3 questions à Marc Laffineur, Député-Maire d'Avrillé et Orateur national pour la campagne d'Alain Juppé 

    Vous êtes au sein de l’équipe d’Alain Juppé en charge des questions liées à la chasse et avant tout chasseur. A l’occasion de la saison d’ouverture de la chasse, parlez-nous de cette passion et de la pratique que vous en avez !

    La chasse est effectivement une vraie et très ancienne passion pour moi. Je suis originaire du Nord et c’est dans ma région natale que j’ai attrapé le virus cynégétique en chassant en plaine le perdreau et le lièvre. L’Anjou, où je suis installé depuis 40 ans et dont je suis député depuis 1988, m’a permis de poursuivre cette saine activité.

    Je pratique principalement la chasse devant soi, à la quête du petit gibier. C’est pour moi essentiel de prendre le temps de parcourir la campagne, seul ou avec quelques amis. La chasse est très structurante. Elle offre de vraies parenthèses dans nos vies quotidiennes et de beaux moments de convivialité. J’y vois également la possibilité de se retrouver, de se ressourcer et de revenir à l’essentiel.

    Dans le cadre de mon travail parlementaire, notamment au sein du groupe d’études Chasse et territoire, je suis par ailleurs particulièrement attentif à la prise en considération des intérêts des chasseurs. Ce fut encore récemment le cas au cours de l’examen du projet de loi pour la reconquête de la biodiversité, où nous avons veillé au maintien des compétences de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) et à leurs spécificités vis-à-vis de celles de l’Agence française pour la biodiversité (AFB). 

    Alain Juppé ne chasse pas, pourtant il vous a chargé des questions liées à ce sujet, quelle est sa sensibilité à la chasse et au monde rural en général ?

    Alain Juppé ne chasse effectivement pas mais il vient d’une région, le Sud-Ouest, où la chasse est une institution et connaît donc bien ce sujet. C’est un univers qu’il apprécie et auquel il s’intéresse, notamment parce que la chasse est constitutive de l’ADN de nos territoires et de ses traditions, mais aussi parce que la chasse est étroitement liée aux questions environnementales et participe au développement des territoires. Ministre de l’écologie, il avait initié les tables rondes sur la chasse afin de définir des règles de gestion des espèces sauvages et de leur habitat, qui ont permis de lever des incompréhensions entre chasseurs et naturalistes. A cet égard, il sait la réussite qu’a été la mise en place des plans de chasse qualitatifs des cervidés et leurs effets bénéfiques pour l’équilibre environnemental.

    Plus récemment, je l’ai accompagné dans le Calvados, à la réserve ornithologique de Saint-Samson, aux côtés des chasseurs, de leurs représentants et d’élus locaux. Alain Juppé considère la chasse comme une activité nécessaire à la conservation de la biodiversité, à la veille écologique et sanitaire des espèces sauvages mais aussi au maintien d’un lien social entre les générations et entre le monde rural et les citadins qui se retrouvent tous autour de cette commune passion, c’est aussi cela l’identité heureuse ! 

    Si Alain Juppé est élu Président de la République, quelles propositions seront faites aux chasseurs ?

    La première sera le rattachement de la chasse à un grand ministère de l’Agriculture aux compétences étendues. Cette idée a été de nombreuses fois évoquée mais jamais concrétisée. Cette décision aurait beaucoup de sens au regard des enjeux parfois communs à l’agriculture, à la chasse et à la forêt.

    Cette nouvelle attribution au ministre de l’Agriculture permettrait également de renégocier les directives communautaires qui pèsent de tout leur poids sur l’exercice de la chasse dans notre pays. Il est par exemple absurde que les oies grises, dont les populations se portent bien, ne puissent être chassées en février en France, alors qu’on sait dans quelles conditions elles peuvent être parfois régulées aux Pays-Bas. C’est une discussion que nous devrons mener au niveau européen, avec tous les acteurs concernés.

    Plus généralement, les chasseurs et leurs représentants doivent être systématiquement associés, ainsi que les autres acteurs de la préservation de la biodiversité, aux instances consultatives nationales traitant de la gestion et de l’aménagement des milieux naturels.

     

     

    « Tous les animaux connaissent ce qui leur est nécessaire, excepté l'homme. » 

    « Je connais un pays ou l'on abat des forêts pour construire des asiles afin d'enfermer des hommes devenus fous de ne plus voir d'arbres. » 

    « Ils ont voulu nous enterrer. Ils ne savaient pas que nous étions des graines »

    Catégories : actions militantes, news